Tite70 Edward
Messages : 49 Date d'inscription : 26/09/2009
| Sujet: [Textes] Na's writings. Mar 29 Sep - 17:48 | |
| Je me suis remise à l'écriture il y a ... quelques mois je dirais =). Voici les derniers textes que j'ai écrit, enjoy .Cher amour,
Je me suis promenée dans ce parc magnifique ce matin et j’aurais voulu y être avec toi. J’ai entendu sur le chemin une musique qui nous ressemble mais tu n’es pas là. J’ai senti ton parfum dans l’air, je me suis approchée mais ce n’était pas toi. Tu vois, tout me fait penser à toi, et pourtant je me sens si seule sans toi.
Cher amour,
Aujourd’hui je pense encore à toi, Mais encore & encore tu n’es pas là. J’ai envie de te parler, j’ai envie de te toucher mais seule ta photo exprime ta présence. Pourquoi n’es-tu pas avec moi ? Le temps passe, la distance se fait de plus en plus grande, et tu t’éloignes de moi.
Cher amour,
J’aurais aimé me réveiller dans tes bras. Si seulement tu pouvais être avec moi. Ton image me hante, ton corps me manque. J’ai froid, je suis seule & j’ai besoin de toi.
Cher amour,
J’ai envie de te dire ce que je ressens. Je veux te montrer que notre amour est plus grand. Tu as mal et tu as peur, Fais-moi confiance et offre moi ton cœur.
Cher amour,
Ne ferme pas la porte. Je t’attendrai, j’attendrai que tu sois mien. Rien ne m’importe plus que ton bonheur. Laisse-moi venir vers toi, je serai cette fille forte, Celle qui sera toujours là et qui réparera ton cœur. Rejoins-moi je t’en prie. Pour nous l’amour n’est pas fini.
Cher amour,
Je suis installée sur ma véranda. A t'écrire une lettre que tu ne liras sûrement pas. Les premiers vents d’automne se font sentir, Et cette fraîcheur nouvelle me fait frémir.
Cher amour,
Aujourd’hui fut une longue et dure journée. Je suis sortie, j’ai marché et j’ai pensé. Je suis allée dans notre parc, celui de notre première rencontre tu te souviens ? Dans lequel tu m’avais dit « suis-moi, viens. ». Celui avec le petit étang, et les arbres à perte de vue. J’y étais, je t’ai attendu, mais tu n’es pas venu.
Cher amour,
Il y à un an déjà tu étais là. En face de moi, me prenant la main. Tu m’as regardé et m’a dit que moi seule avait droit à tes bras. Aujourd’hui, je me retrouve face à rien.
Cher amour,
Où es-tu ? Que fais-tu ? Je crois te voir à l’angle de la rue. Je suis devant toi mais tu es déjà parti. Je te croyais tellement quand tu me disais que j’étais la plus belle. Peut-être n’as-tu jamais été réel . Je commence à croire que je suis finie.
Cher amour,
Me yeux se posent sur le feu. Un souvenir de nos soirées à deux. Blottis l’un contre l’autre devant la cheminée. Regardant ensemble le feu danser et crépiter.
Cher amour,
Me yeux se ferment, je n’ai plus la force de lutter. Je suis là, le serai toujours et t’attendrai. Pour que l’aube enfin, se lève sur ton corps. Pour l’instant, seule, je m’endors.
Des autres :
Toi.
Je t’ai détesté, je t’ai adoré et enfin je t’ai aimé. Tu es mon âme sœur, mon meilleur ami et mon pire ennemi. J’ai toujours rêvé de toi, inconsciemment sûrement. Depuis quelques temps je ne me confie qu’à toi. Depuis quelques temps je ne pense qu’à toi. Mais cette distance entre nous me pèse. Ne vois-tu pas que je suis là ? Tu es devant moi, pourtant tu me sembles si loin. Nous sommes tous les deux des cœurs brisés, trahis par ceux que nous aimions, comme trop de personnes dans ce monde. Il m’a brisé, elle t’a achevé. Je pourrais sans doute te faire la même promesse qu’elles, te dire que jamais je ne te quitterais, que toujours je t’aimerais, mais te le prouver vaut tous les mots. Je ne l’ai pas vu arriver. Passer de l’amitié à l’amour, il n’y a qu’un pas. Je l’ai franchi seule. Je t’attends, rejoins-moi. Je t’aime mais tu ne me crois pas. Je te désire mais tu ne le sais pas. Je suis là mais tu ne me vois pas Pourquoi toi ? Je ne saurais le dire, tu m’as charmée, tu m’as apaisée, tu m’as bouleversée. Qui pourrait le croire, toi & moi, ensemble. Dans mon esprit et mon cœur, cela sonne comme une douce utopie. Je t’ai ouvert mon cœur qui maintenant t’appartient. Je t’offre mon corps si tu le veux tien. Je n’attends que toi sur le chemin de la vie, viens vers moi là où tout est permis. Car mon amour, tout pourrait débuter ici.
Le manque.
Je suffoque. J’ai besoin de toi, j’ai besoin de mon oxygène. Tu es parti et je me sens déjà finie. Je pense au moment où je vais te retrouver. La douceur de ton corps, , la sécurité de tes bras , la tendresse de tes baisers. Je m’effondre sur mon lit et y pense déjà. Je regarde droit devant moi et sur mon plafond ton visage se dessine, tu me souris. Une vague de chaleur m’envahit. Je fredonne notre chanson, ta voix résonne dans ma tête. Elle me murmure « Je t’aime ». La chanson se finie, la lumière s’éteint et je me retrouve seule face à moi-même. Sans toi, sans ton sourire et sans ta voix. Je sens un froid m’envahir. Le manque est de retour, il chasse ton souvenir. Je me recroqueville pour avoir moins froid, mais seul toi peut me réchauffer. Je te cherche dans mon sommeil, ma main fait le tour du lit, mais pas de toi. Juste un drap de soie. Mon seul compagnon de nuit. Je me réveille seule, et je pense déjà à toi. Mon oxygène, mon soleil, ma vie.
Perdre ou Gagner.
Nous avons joué. Les règles étaient simples : pas de tricherie, pas d’abus. Première partie. Je commence, tu es mien. Si je continue tu m’appartiens. Je gagne. Seconde partie. Tu n’aimes pas, tu n’aimes plus. Tu t’amuse au perfide et c’est moi qui me sens vide. Tu gagnes. Dernière partie. J’aurais pu me prendre au jeu. J’aurais pu te rendre heureux. Tu gagnes. Tu as joué avec mon cœur, tu as triché avec tes sentiments, tu as abusé de mon corps. Au jeu de l’amour, il n’y a pas souvent de gagnants, principalement des perdants.
Le manque (bis).
Mon cœur me le montre, il bat comme jamais. Pourquoi ? Parce que je pense à lui. Les battements s’affaiblissent et la douleur prend le relais. Une sensation d’étouffement m’envahit. Que fait-il ? Où est-il ? Avec qui est-il ? Je deviens folle. La douleur est de plus en plus forte. Mon cœur se déchire. La gorge me brûle. Je suffoque. Il n’est pas là. Comme dans un océan déchaîné, je me noie. Je n’attends que lui. Mon corps plonge sous l’eau. Je voudrais hurler, mais rien ne sort. Je me laisse couler. Le manque, la douleur et le vide sont mes ennemis, je dois les combattre. Je n’en ai pas la force. Seul lui peut m’aider. Il n’est pas là. Je suis seule, seule face à mes peurs, à mes doutes. Face à tout. Et si je l’avais imaginé ? S’il n’avait jamais existé ? Que serais-je sans lui maintenant ? La bataille fait rage en moi. Tiraillée entre l’envie d’être avec lui, qui est la seule arme que je possède et l’envie de tout abandonner, me laisser périr. Je lui crie mon amour, je lui hurle de venir à mon aide. De me rejoindre. Peu importe ce qu’il fait. Où qu’il soit. Peu m’importe avec qui il est. Qu’il me rejoigne, j’ai besoin de lui. Besoin de lui ? Impossible. Que m’arrive-t-il ? Non. Je ne dois pas. Il ne faut pas. Je scande son nom. Une faiblesse. Je perds. Mes yeux se ferment, je ne lutte plus. J’ai perdu.
Le destin.
Pourquoi existe t-il ? Si ce n’est pour me ramener à toi. Une chanson, une odeur, ce stupide test que je viens de faire. Il me ramène encore & toujours à toi. A nous. Avant. Tu es parti à jamais pourtant et tu reviens sous plusieurs formes, comme si tu voulais que je ne t’oublie pas. Roméo & Juliette des temps modernes. Ils ne sont plus mais ils restent gravés dans le marbre. Nous deux, sommes, insignifiants, un morceau de chair et un tas de poussière. Quelle belle histoire. Sans le vouloir tu m’as laissé seule dans ce bas monde, le destin s’en était mêlé. Pourquoi me fait-il encore du mal après tout ce temps ? Je ne lui demandais rien, juste de nous laisser ensemble pour toujours. Il en a décidé autrement. Tu es parti le premier. Tant de fois j’ai essayé de t’oublier, tant de fois j’ai voulu que tu n’es jamais existé mais ton visage, tes gestes me reviennent et le sourire aussi. Pour un temps seulement. Ton visage, tes gestes s’effacent et laissent place à la solitude, à la douleur. Vivre sans toi me tue. Ce destin me tue.[/font]
Et le dernier : Le texte est en réponse du texte "Toi"
Moi.
Pourquoi m’empêcher de me relever alors qu’elle pourrait me sauver ? Pourquoi ne pas lui ouvrir mon cœur pour peut-être croire au bonheur ? Je n’étais plus moi, j’étais au plus bas mais elle était là. Je n’y croyais plus, j’étais perdu mais elle m’a soutenu. Pourquoi ne pas me laisser aller ? Pourquoi suis-je tant fermé ? Cet autre elle, m’a achevé, m’a brisé, m’a tué. Elle a tué ce qu’il restait de mon amour. Elle a brisé mon cœur qui devenait bien trop lourd. Elle a achevé ce qui en moi ne pensait que « toujours ». Je l’ai aimée, elle m’a abandonné. Je n’ai plus rien, je ne suis plus rien, je ne veux plus rien. A cause d’elle, je suis un homme détruit, à cause d’elle je ne vois que la nuit, à cause d’elle, plus jamais je ne ris. Je me relève, du moins j’essaie, me disant que demain sera meilleur qu’hier. Que de l’ombre j’irai enfin vers la lumière. Mais je suis là, dans le noir, en pleurs à penser à un « nous » qui ne le sera jamais plus.
Je n’ai rien voulu, je n’ai rien vu, je ne l’ai pas entendue. Pourtant, ses sourires, ses regards, ses mots, ils m’ont touché, ils m’ont fait pleurer, mais je n’ai pas deviné. Peut-être trop aveuglé. Elle était là, ne voulait que moi, n’espérait que moi, n’attendait que moi, et je ne pouvais pas. Je ne voulais pas. Je n’y croyais pas. Je pensais. Je réfléchissais. Je doutais. Elle avait toujours été là. Je ne savais pas que c’était à ce point là. Elle ne doutait pas. Peut-être l’ai-je toujours désirée ? Peut-être ne l’ai-je jamais repoussée ? Peut-être ne l’avais-je jamais espérée. Pourquoi moi ? Pourquoi elle ? Tant de questions qui resteront sans doute sans réponse. J’aimerais lui dire que je suis cet homme là, lui dire que je ne suis pas que ça. Mais j’ai peur… Le dernier n'est pas terminé, enfin il a deux fins plutôt -_-, faut que je choisisse celle que je décide de garder . | |
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